Nombreux sont ses nouveaux tradeurs qui rêvent d’investir dans le plus grand marché boursier mondial qu’est Wall street. Parmi les méthodes d’investissement l’exchange traded funds (ETF) est celle recommandée par les courtiers, vu que les actifs basiques sont constitués de matières premières et d’obligations. Comment cela fonctionne-t-il et que dire des entreprises de gestion.
Quel est le processus de fonctionnement de la méthode ETF ?
Elle permet un accès simple à l’ensemble du marché d’investissement pour les investisseurs débutants, amateurs ou professionnels,voir le site pour ample informations. Son mode de fonctionnement se présente comme suit :
• La structure gestionnaire prend l’initiative de créer un fonds
• L’actif avec un revenu allouée come des titres d’entreprises est acheté
• Les actions achetées sont vendues en bourse
Notons que les ETF des plus grandes sociétés comme : iShares, ou SPDR, ont leurs représentants aux Etats-Unis et dans tout le continent européen. La plus importante est iShares compte tenu de leur position et des investissements considérables qui leurs sont confiés.
Que savoir de l’ETF synthétiques ?
C’est une caractéristique du marché européen vu les énormes avantages qu’elle procure dans le PEA, on parle sur le marché américain d’ETF physiques. Dans le cas de l’ETF synthétiques, la structure gestionnaire passe un accord sous forme de contrat avec des banques d’investissement. Selon des analyses théoriques les missions liés au PEA devraient être soumise aux normes de l’UE en termes de législation financière. Plutôt que de se fier aux indices, la méthode ETF procède à un placement de fonds proportionnels à des actifs, en lien avec les banques d’investissements. Aux Etats unis, l’action des ETF est assez limité. Notons que l’ETF synthétique est un assemblage de procédées financiers entre un émetteur et une contrepartie pour copier ou faire la réplication des indices sans forcément les acheter. Les risques qui y sont liés sont soumis à des conditions dont :
• Le swap devenant impossible dans le cas où la contrepartie fait faillite
• L’ETF se disloque si l’émetteur fait faillite